Campagne anti-recrutement
Au moment où la haute direction des Forces Canadiennes lançait sa plus importante campagne de recrutement depuis la seconde guerre… Lire la suite »Campagne anti-recrutement
Au moment où la haute direction des Forces Canadiennes lançait sa plus importante campagne de recrutement depuis la seconde guerre… Lire la suite »Campagne anti-recrutement
En trente ans, on a vu passer plusieurs tendances de violence chez les jeunes. Cette fois, c’est la radicalisation religieuse dans les cégeps qui retient toute l’attention, une autre de diverses formes d’un seul et même phénomène, la violence : sociale, contre l’autre et envers soi.
Le Forum sur la sécurité et la défense (FSD), financé par l’armée canadienne, soutient des centres universitaires en sciences politiques. Ces recherches, présentées comme indépendantes, influencent l’opinion publique et forment des générations d’analystes favorables au militarisme, justifiant la militarisation et l’implication du Canada dans des conflits armés.
Le FSD finance discrètement des recherches universitaires et des bourses pour promouvoir la légitimité des actions militaires canadiennes. Ces fonds, souvent minorés publiquement, servent à influencer l’opinion, soutenir des missions offensives et former des analystes favorables au militarisme, tout en masquant la portée réelle de ces investissements.
L’armée canadienne influence la recherche universitaire via des subventions opaques, directement ou par le secteur privé, façonnant l’opinion publique. Même les centres non financés par le FSD restent vulnérables aux biais, collaborant avec des chercheurs partiellement financés par l’armée. La prétendue impartialité universitaire est ainsi compromise.
Des universités canadiennes reçoivent des financements militaires pour des recherches en robotique, drones et explosifs. Même si certaines applications sont civiles, l’armée américaine et le RDDC influencent ces travaux. Étudiants et chercheurs sont ainsi intégrés à un réseau de militarisation académique, soulevant des questions éthiques et morales.
Au Canada, des campagnes étudiantes ont stoppé ou limité la militarisation de la recherche universitaire. À Toronto, London et McGill, des mobilisations ont suspendu des partenariats militaires, imposé davantage de transparence et suscité des politiques d’éthique, bien que les administrations défendent souvent la recherche militaire et ses liens avec l’armée.
Clés pour concevoir une campagne efficace contre la recherche militaire.
Écrit par www.AntiRecrutement.info La question de la liberté d’expression est parfois évoquée comme justification pour protéger l’accès aux écoles pour… Lire la suite »La liberté d’expression et le consentement éclairé
Écrit par www.AntiRecrutement.info Le commandant en chef des Forces canadiennes a donné l’ordre à tous les militaires de participer activement… Lire la suite »Les enseignants sollicités pour gonfler les rangs de la marine
Écrit par www.AntiRecrutement.info La Coalition contre le recrutement militaire dans les établissements d’enseignement dénonce les nouvelles pratiques de recrutement de… Lire la suite »Le recrutement dans les écoles primaires dénoncé
Écrit par www.AntiRecrutement.info Urgence de recruter La plus grande campagne de recrutement militaire canadienne depuis la Seconde Guerre mondiale est… Lire la suite »La campagne de recrutement militaire
Ce document présente comment l’armée s’est incrustée dans nos universités. Le secteur militaire dépense des millions pour des travaux scientifiques… Lire la suite »La recherche militaire dans nos universités
L’industrie militaire canadienne est en expansion fulgurante. En dollars ajustés, le budget de notre armée est à ce jour à… Lire la suite »Le recrutement militaire et nos écoles
Ce document présente les actions militaires canadiennes dans un contexte bien particulier où le recrutement de l’armée et les frais… Lire la suite »Éducation vs. industrie militaire – Document d’analyse
Une vaste campagne d’opposition au recrutement militaire a lieu sur les campus québécois depuis maintenant plus d'un an. Cette campagne étudiante, nommée "Opération Objection" (www.AntiRecrutement.Info), oeuvre activement à la mobilisation contre la présence de l’armée dans les écoles secondaires, les cégeps et les universités du Québec.
Le mouvement des cadets refuse d'émettre toute réaction par rapport à un article de La Presse du 21 juillet dernier intitulé "Des camps de vacances armés".
La nouvelle ère du militarisme canadien.
Les Canadiens sont présentement exposés à une importante publicité préparée par le gouvernement du Canada pour commémorer la guerre de 1812. La première édition du Festival Militaire de Montréal « Armée de culture » et cette campagne publicitaire ne sont que deux exemples parmi plusieurs. Il faut tenter d’étudier les soubassements de ces initiatives pour comprendre sur quelles assises le gouvernement conservateur actuel veut ériger les nouvelles valeurs canadiennes.
Le numéro spécial du magazine Vents croisés sur le recrutement militaire dans les écoles vient tout juste d'être lancé. La revue présente une série d’articles sur l’enjeu du recrutement à l’école question qui suscite de plus en plus de préoccupation de la part des parents.
Voici un extrait résumé en 50 mots :
Dans plusieurs pays, les objecteurs de conscience bénéficient d’un service civil aux mêmes conditions que le service militaire. Au Canada, les Forces armées offrent des avantages solides, tandis que les programmes civils sont limités, moins financés, et demandent souvent des frais, créant un déséquilibre pour les jeunes engagés.
Suite à de récents échanges avec des conseillés en orientation scolaire dans les écoles secondaire, un certain nombre de questions ont été soulevées quand au recrutement militaire dans les écoles.
Lettre d’opinion: le scoutisme constitue un des plus beaux réseaux jeunesse et l’alternative par excellence à l’institution jeunesse militaire que sont les cadets de l’armée.
Un événement « Outils de Paix » > Le Centre est un acteur clé de la concertation des organismes montréalais pour la paix initiée depuis janvier 2009. Les démarches pour l'organisation des journées entourant la "Journée internationale de la non-violence" prévue le 2 octobre prochain progresse bien. Plusieurs organismes sont engagés à y participer.
L’armée a-t-elle vraiment « plus de volontaire que de postes » ?
Selon le Général Andrew Leslie, l’armée canadienne a dépassé ses objectifs de recrutement et se retrouve maintenant avec un surplus de recrues. Ainsi, le recrutement sera freiné et il serait inutile de remettre en question les efforts de recrutement en milieu scolaire.
Les organisations membres de la Coalition contre le recrutement militaire dans les établissements d'enseignement du Québec unissent leur voix pour dénoncer les pratiques de recrutement de l'armée canadienne dans les écoles secondaires, les cégeps et les universités du Québec.
Une comparaison entre services militaires et civils équivalents révèle des écarts significatifs qui invitent à repenser nos priorités collectives.
Le Gouvernement canadien cherche constamment à sensibiliser la population à la guerre. Ses efforts nous touchent et nous affectent de plus en plus. Ils s’adressent même à nos jeunes dès la fin de l’école primaire.
Le numéro spécial du magazine Vents croisés sur le recrutement militaire dans les écoles vient tout juste d’être lancé. La revue présente une série d’articles sur l’enjeu du recrutement à l’école question qui suscite de plus en plus de préoccupation de la part des parents d'élèves du primaire et secondaire en plus des étudiants du niveau post-secondaire.
« Chaque été, des milliers d'adolescents sont formés au maniement des armes dans les bases des Forces armées canadiennes. Dès l'âge de 14 ans, ils peuvent tirer de vraies balles au moins une fois pendant leur camp de cadets, selon un document interne. Des groupes de pacifistes dénoncent cequ'ils considèrent comme un endoctrinement militaire des jeunes. L'organisation des cadets minimise l'importance de cet entraînement.»
Le Centre de ressources sur la non-violence joint sa voix à celle de la campagne étudiante "Opération Objection" pour dénoncer l'utilisation du mouvement des cadets comme moyen d'endoctrinement militaire des jeunes.
Texte d’opinion publié dans l’édition du 29 mars du journal Le Devoir.
En feuilletant un album de famille dernièrement, je suis tombé sur la photo d'un petit connard serré dans un uniforme vert olive, le béret de laine rouge incliné bas sur le crâne. Il pouvait avoir une douzaine d'années, se tenait droit, pas au garde-à-vous mais presque. Aucune erreur possible, c'était moi. Derrière, le portique peint en blanc de notre maison du bord de mer à Maria.
Bonjour M. Beaudet,
Il y a de cela quelques jours, j’ai pris connaissance de votre lettre d’opinion parue dans le journal Le Devoir. Ayant moi-même fait parti du mouvement des cadets durant 7 ans, celle-ci m’a grandement fait réagir. Si j’ai décidé de vous répondre aujourd’hui, c’est dans le but de vous faire connaître un peu ma vision du mouvement, ce qu’il m’a apporté. Je ne suis pas en accord avec votre opinion mais je la respecte et j’ose espérer que c’est un manque de connaissances qui vous a guidé…
La campagne d’opposition au recrutement militaire en milieux étudiant porte fruit. Son rôle est d’informer la population étudiante sur les dessous d’un engagement militaire, à inciter les associations étudiantes à prendre position sur la question de la présence de l’armée dans leur institution et à mettre un terme au recrutement dans les écoles.
Dès la fin de l’école primaire, à l’âge de 12 ans, vos enfants peuvent être approchés pour joindre le mouvement des cadets de l’armée. On leur fera miroiter la chance de se faire de nouveaux amis, de vivre une expérience d’aventure et de voyager. Le tout aux frais du Ministère de la Défense nationale.
Voici la réponse à une des lettres qui nous ont été envoyées au sujet du débat quant au rôle du mouvement des cadets des Forces canadiennes.
Cher M. Normand Beaudet,
Je viens tout juste d’apprendre l’existence d’un papier que vous avez écrit et qui a été publié sur plusieurs sites Internet et autres médias daté du 13 mars 2008. Le document traitant du Mouvement des Cadets et du soi-disant producteur de masse d’enfants soldats dont le principal objectif est de tuer ou être tué.
Réponse de l'auteur du texte "Les enfants-soldats de l'armée canadienne" à la lettre «Les cadets ne sont pas des enfants-soldats», publiée dans Le Devoir le 19 mars :
Lettre de Guillaume Bailly, Saguenay, publiée dans Le Devoir, 19 mars
Réaction à la lettre d'opinion intitulée «Les enfants-soldats de l'armée canadienne»
Au Canada, l’armée cible les jeunes dès 12 ans via les corps de cadets, utilisant camps, loisirs et voyages comme appât. Sous couvert d’activités éducatives, ces programmes conditionnent progressivement les adolescents aux compétences militaires, préparant de facto de futurs soldats pour des missions comme l’Afghanistan, posant des enjeux éthiques majeurs.
Je constate qu’une des priorités actuelles de notre gouvernement est d’investir dans l’industrie militaire en allant chercher des milliards de dollars dans les budgets des services sociaux et de l’éducation. Nos finances publiques servent de plus en plus à soutenir des guerres qui ne profitent qu’aux marchands de canon. Face à cette situation, pouvons-nous nous permettre l’indifférence ?
Les Cadets royaux de l'armée canadienne ont invité tous les jeunes et leur famille à un grand rassemblement jeunesse sur les Plaines d'Abraham en août dernier.
Un premier communiqué de presse prévoyait la présence de 4 000 cadets et un programme d'activités comprenant un concours provincial pour tester leurs connaissances sur l'histoire militaire de la ville, une démonstration de biathlon, des concerts devant public et une journée retrouvailles des cadets…