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Diversité et vivre ensemble

Le confinement : est-ce une bonne chose?

    Un exercice de confinement impliquant les jeunes, surtout au primaire devrait être un tout dernier recours.  Les priorités des milieux d’enseignement doit être le renforcement de la confiance… non pas la stimulation des sentiments de peur.

    Approches de lutte à l’intimidation

      Il devient indispensable de réfléchir à une forme d’action concertée; où le milieu communautaire ainsi que les parents viennent renforcer le travail des professionnels des milieux en permettant d’organiser des activités de transmission des habiletés sociales soutenues à long terme. 

      Intimidation : s’engager… à réagir

        « Je m’attendais à ce que ce soit plate… Et, au contraire, ça me donne encore plus le goût de m’engager ! », a conclu le jeune Benoît Fleury-Denoncourt, un des participants au forum citoyen sur l’intimidation qu’a organisé, à Victoriaville, le Centre Emmaüs en collaboration avec Outils de paix.

         

        Quand les communautés intègrent la lutte contre la violence

          Katimavik, connu pour son service volontaire jeunesse financé par Patrimoine Canada, offre aux jeunes l’occasion de s’engager dans des projets communautaires à travers le pays. À Victoriaville, cette expérience a conduit à une collaboration avec le Centre Emmaüs et Outils de Paix, donnant naissance au projet-pilote Bâtisseurs pour la paix, qui outille les jeunes contre la violence et l’intimidation.

          Mettre fin à l’intimidation

            Le corps de la jeune Marjorie Raymond est en terre.  Comme deux autres personnes par jour au Québec, la jeune fille s’est suicidée et sa lettre explique son geste par l’intimidation qu’elle a subie à l’école.  Nous devons garder en mémoire qu’il n’y a jamais qu’une seule explication au phénomène du suicide, et c’est vrai pour toutes les formes de violence, qu’elles soient contre soi-même ou contre l’autre. 

             

            Attentats en Norvège

              «Plus de démocratie, plus d'ouverture et plus d'humanité, mais jamais de naïveté»

               

              «Nous sommes un petit pays, mais nous sommes un peuple fier. […] Nous sommes tous choqués par ces actes répréhensibles […], mais nous n'abandonnerons jamais nos valeurs. Notre réponse à la violence sera plus de démocratie, plus d'ouverture et plus d'humanité. Mais jamais de naïveté.» —

               

              Jens Stoltenberg, premier ministre de Norvège, cathédrale d'Oslo, 24 juillet 2011

              De la violence pour contrer la violence: un couteau à double tranchant

                Un certain samedi soir du 11 décembre 2010, au Centre Bell de Montréal, une éclatante victoire du pugiliste Georges St-Pierre est confirmée par l’annonceur officiel du combat! Le gars de St-Isidore conserve son titre de champion du monde des mimoyens des arts martiaux mixtes.

                La corruption au Québec, pire qu’ailleurs?

                  Il est difficile de nier la présence d'actes de corruption dans les structures économiques et politiques du Québec ces temps-ci. Des allégations et des preuves de transactions aussi douteuses les unes que les autres se multiplient; des témoignages par des acteurs importants du secteur public sur les abus de pouvoir et les trafics d’influence se succèdent à longueur d’année.

                  Violences passées sous silence

                    Les médias rapportent sans hésiter les fusillades et autres événements tragiques perpétrés en milieu scolaire. Loin des projecteurs, des milliers de drames invisibles se perpétuent en silence dans les cours d'école.

                     

                     

                    La Télé : la guerre qui se mène pour conquérir nos enfants

                      Des chercheurs ont démontré que l’exposition des enfants et adolescents à la télévision et aux jeux vidéo violents accroît significativement le risque de comportements agressifs. Chaque heure de télévision à 4 ans augmente de 9 % les probabilités de devenir intimidateur, et les jeux vidéo de type FPS stimulent pensées et actes violents.

                      La commémoration d’Hiroshima à Montréal

                        Depuis 1982, Montréal commémore Hiroshima par marches, vigiles et campagnes marquantes, comme les « ombres humaines » sur les trottoirs. De la création d’une Zone libre d’armes nucléaires à l’instauration de la Journée de la paix, cette tradition incarne mémoire collective et engagement contre la prolifération nucléaire.

                        Seul en souffrance face au silence

                          Par Nadia Nadège

                          Le suicide annoncé par conférence de presse de Marcel Tremblay à 78 ans
                          a mis en évidence notre malaise devant la mort, voire la violence. Ce
                          sont des sujets tabous quand il s'agit d'en parler autour de soi,
                          d'avouer qu'on en rencontre dans son couple ou sur son lieu de travail.
                          Je constate tristement comment chacun préférerait ne pas en entendre
                          parler? Pourtant, les journaux adorent les mettre en colonnes et en
                          images. « Le drame, ça vend » me disait-on lorsque j'étudiais à l'École
                          supérieure de journalisme à Paris.

                          Abus sexuel d’enfants, quand le système prend charge


                            Juin 2003, je suis au travail, planifiant la relance des activités du
                            Centre de ressources sur la non-violence. Nous sommes un vendredi
                            après-midi, un bel après-midi de printemps. Je prévois une randonnée
                            sur la piste cyclable dès que je suis satisfait de mon document.

                            Le téléphone sonne, c'est l'agence du service de garde. On
                            m'avise qu'elle vient de fermer définitivement la garderie en milieu
                            familial que fréquente ma petite fille de quatre ans. Une plainte a été
                            reçue et, après vérification, la Direction de la protection de la
                            jeunesse a mis les propriétaires sous enquête. On m'avise que ma fille
                            est en sécurité, que je peux la prendre dès que possible.