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Conflits et sécurité

La lutte à la radicalisation : le Québec est-il sur la bonne voie?

    En trente ans, on a vu passer plusieurs tendances de violence chez les jeunes. Cette fois, c’est la radicalisation religieuse dans les cégeps qui retient toute l’attention, une autre de diverses formes d’un seul et même phénomène, la violence : sociale, contre l’autre et envers soi.

    Repenser la sécurité étatique

      Repenser le concept de sécurité étatique, c’est réviser l’organisation sociale et politique pour mettre à contribution les divers secteurs, sociaux, économiques et politiques dans le but de construire une paix durable.

      Le confinement : est-ce une bonne chose?

        Un exercice de confinement impliquant les jeunes, surtout au primaire devrait être un tout dernier recours.  Les priorités des milieux d’enseignement doit être le renforcement de la confiance… non pas la stimulation des sentiments de peur.

        Débat sur le contrôle des armes

          TOUTES LES ARMES À FEU ILLÉGALES SONT D’ABORD DES ARMES LÉGALES

          Avec la tuerie de Newtown, la question du contôle des armes à feu fera de nouveau surface.  Les opposants au contrôle des armes continuent de clamer qu’on devrait « punir les criminels » et laisser tranquilles les propriétaires d'armes à feu respectueux des lois. Mais où les criminels prennent-ils leurs armes?

          Approches de lutte à l’intimidation

            Il devient indispensable de réfléchir à une forme d’action concertée; où le milieu communautaire ainsi que les parents viennent renforcer le travail des professionnels des milieux en permettant d’organiser des activités de transmission des habiletés sociales soutenues à long terme. 

            Je veux un Québec sans armes

              Auteur et éditeur

               

              Impossible d’oublier ma première rencontre avec un militaire.  J’avais alors 5 ans.  Sur son ordre, je devais lui tourner le dos et regarder le ravin.  Lui, en uniforme, se tenait derrière un fusil pointé vers moi.  Je n’avais jamais vu de militaires auparavant et ne savais pas à quoi servaient les fusils.  Il est sans doute normal qu’après pareille expérience (de laquelle je suis sorti par miracle) je sois farouchement opposé aux militaires, aux armes et aux guerres. 

               

              Je ne supporte pas non plus les uniformes, les médailles, le son du clairon, les défilés, les monuments commémorant les batailles du passé.  Je crois comme Alfred de Vigny que l’existence du soldat est (après la peine de mort) la trace la plus douloureuse de barbarie qui subsiste parmi les hommes.

              Intimidation : s’engager… à réagir

                « Je m’attendais à ce que ce soit plate… Et, au contraire, ça me donne encore plus le goût de m’engager ! », a conclu le jeune Benoît Fleury-Denoncourt, un des participants au forum citoyen sur l’intimidation qu’a organisé, à Victoriaville, le Centre Emmaüs en collaboration avec Outils de paix.

                 

                Déclaration CMPaix

                  Nous publions cette déclaration des organismes québécois pour la paix, qui a été l'objet deplusieurs négociations et tractations.  La déclaration a été adoptée par les organismes participants au réseau CMPaix.

                   

                   

                  Cette déclaration illustre bien la perspective des organismes militant pour la paix dans la grande région de Montréal.  La déclaration ne se limite pas qu'à uneperspective anti-guerre comme c'est souvent le cas.