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En attente

Aux origines du CRNV: une inspiration alternative

    Né de la convergence des luttes anti-nucléaires et écologistes, le Centre de ressources sur la non-violence promeut des alternatives au militarisme et à l’extractivisme. De la défense civile non-violente à la solidarité internationale et autochtone, ses actions s’ancrent dans la justice sociale, l’écologie et la transformation pacifique des conflits.

    En quoi consistent ces recherches ?

      Le Forum sur la sécurité et la défense (FSD), financé par l’armée canadienne, soutient des centres universitaires en sciences politiques. Ces recherches, présentées comme indépendantes, influencent l’opinion publique et forment des générations d’analystes favorables au militarisme, justifiant la militarisation et l’implication du Canada dans des conflits armés.

      Une situation désespérée ?

        Le FSD finance discrètement des recherches universitaires et des bourses pour promouvoir la légitimité des actions militaires canadiennes. Ces fonds, souvent minorés publiquement, servent à influencer l’opinion, soutenir des missions offensives et former des analystes favorables au militarisme, tout en masquant la portée réelle de ces investissements.

        D’autres avenues pour militariser la recherche

          L’armée canadienne influence la recherche universitaire via des subventions opaques, directement ou par le secteur privé, façonnant l’opinion publique. Même les centres non financés par le FSD restent vulnérables aux biais, collaborant avec des chercheurs partiellement financés par l’armée. La prétendue impartialité universitaire est ainsi compromise.

          Les technologies militaires dans les universités canadiennes

            Des universités canadiennes reçoivent des financements militaires pour des recherches en robotique, drones et explosifs. Même si certaines applications sont civiles, l’armée américaine et le RDDC influencent ces travaux. Étudiants et chercheurs sont ainsi intégrés à un réseau de militarisation académique, soulevant des questions éthiques et morales.

            Des mobilisations étudiantes contre les recherches militaires

              Au Canada, des campagnes étudiantes ont stoppé ou limité la militarisation de la recherche universitaire. À Toronto, London et McGill, des mobilisations ont suspendu des partenariats militaires, imposé davantage de transparence et suscité des politiques d’éthique, bien que les administrations défendent souvent la recherche militaire et ses liens avec l’armée.

              Comment mettre sur pied une campagne de démilitarisation de son campus ?

                Pour démilitariser les universités, il faut cibler les recherches meurtrières, promouvoir des politiques d’éthique et de transparence, interdire le recrutement militaire sur les campus et mobiliser enseignants, étudiants et associations. Ces actions permettent de limiter l’influence militaire et d’encourager une culture universitaire responsable et pacifique.

                Le recrutement militaire et les étudiants

                  Une vaste campagne d’opposition au recrutement militaire a lieu sur les campus québécois depuis maintenant plus d'un an. Cette campagne étudiante, nommée "Opération Objection" (www.AntiRecrutement.Info), oeuvre activement à la mobilisation contre la présence de l’armée dans les écoles secondaires, les cégeps et les universités du Québec.

                  “Idle no more” (Fini la passivité)

                    « Idle No More » (Fini la passivité) est un mouvement qui regroupe Amérindiens, Inuits et Métis du Canada.   Il refuse un imposant projet de loi du gouvernement conservateur qui risque de mener à la destruction de plusieurs composantes de la loi canadienne qui protègent certains aspects de leurs spécificités et des droits territoriaux.  L'appel du mouvement a des répercutions mondiales et a mené à de multiples actes non-violents de résistance aux quatres coins du globe.

                    Printemps québécois

                      Cahier de la non-violence 

                       

                      C’est avec joie et fierté que nous vous présentons ce premier « Cahier de la non-violence ».  

                       

                      De tels cahiers sur la non-violence étaient sur les planches depuis un certain temps, mais arrêter un sujet qui marquerait la question de la non-violence semblait pour nous relever du défi.

                       

                      Eh bien!  Nous n’avons jamais trouvé l’enjeu, c’est l’enjeu qui est venu à nous; la lutte étudiante.  Cet événement fut pour nous un privilège; il nous a permis d’établir un lien avec des jeunes étudiants engagés, porteur d’espoir, impressionnants de lucidité et d’idéalisme. 

                      Quand la guerre devient une valeur fondamentale à partager

                        La nouvelle ère du militarisme canadien.

                        Les Canadiens sont présentement exposés à une importante publicité préparée par le gouvernement du Canada pour commémorer la guerre de 1812. La première édition du Festival Militaire de Montréal « Armée de culture » et cette campagne publicitaire ne sont que deux exemples parmi plusieurs.  Il faut tenter d’étudier les soubassements de ces initiatives pour comprendre sur quelles assises le gouvernement conservateur actuel veut ériger les nouvelles valeurs canadiennes.

                        Violence urbaine et action communautaire

                          L’accompagnement de proximité. 

                           

                          Au moment où la ville de Toronto est victime des règlements de compte de « Gang de rue », et que des gestes similaires commencent à toucher Montréal, l’administration municipale s’apprête à démanteler un des programmes les plus novateurs en prévention de l’adhésion des jeunes aux « Gangs ».  Un équilibre entre l’approche policière et l’approche communautaire doit être trouvé; mais le communautaire ne doit se contenter que de miettes.