Aquino, Corazon
Mouvement d'opposition non violent à une dictature.
Phillipines
Née le 25 janvier 1933 à Manille
Mouvement d'opposition non violent à une dictature.
Phillipines
Née le 25 janvier 1933 à Manille
Article tiré du site web http://www.irenees.net/ Ces expressions sont des oxymores, figures de style qui consiste à assembler deux mots contradictoires… Lire la suite »Guerre par actions civiles – Guerre non violente
Septembre 2005
Appel à la société québécoise et canadienne:
Le 24 septembre 2005, une grande manifestation s'est déroulé à Washington pour demander que les États-unis mettent fin à l'occupation de l'Irak et en retirent immédiatement leurs troupes. Nous voulons exprimer notre entière solidarité avec les forces sociales étasuniennes qui s'opposent ainsi à la guerre d'occupation en Irak.
Une délégation de quatre Libanais a visité
Montréal du 27 au 30 avril 2005 à l'invitation de Initiatives et
Changement et du Cercle inter-religieux de Montréal auxquels
collaboraient le Centre d'oecuménisme canadien et le Centre de
ressources sur la non-violence.
Au Liban, de 1975 à 1990, une guerre fratricide fit plus de 100 000
morts et deux fois plus de blessés. Durant cette période, deux des
invités, Mustapha Chehab et Assaad Chaftari, l'un musulman et l'autre
chrétien, étaient responsables de milices. Ils n'ont pas oublié leur
passé d'hommes de guerre mais ils reconnaissent leurs torts.
Aujourd'hui, ils demandent publiquement pardon et deviennent des
éducateurs de paix tant dans leur pays que sur la scène internationale.
Ce texte sur les événements du Liban a été publié par le journaliste libanais Samir Kassir dans la revue « Égypte ». Journaliste au quotidien An Nahar, il avait publié en 2004 ses considérations sur le monde arabe. Il a été assassiné lors d'un attentat à Beyrouth le 2 juin dernier.
Depuis 1982, Montréal commémore Hiroshima par marches, vigiles et campagnes marquantes, comme les « ombres humaines » sur les trottoirs. De la création d’une Zone libre d’armes nucléaires à l’instauration de la Journée de la paix, cette tradition incarne mémoire collective et engagement contre la prolifération nucléaire.
Les Tibétains et leurs sympathisants ont
profité de l'assemblée générale annuelle de la multinationale
québécoise Bombardier Inc. à Montréal, le 7 juin dernier, pour
présenter leur point de vue aux dirigeants et actionnaires. La
participation de Bombardier au chemin de fer chinois vers le Tibet
signifie, pour eux, un appui direct au gouvernement dans son occupation
du Tibet.
Ce soir, à 22h02, ayez une petite pensée
pour les 74 000 qui ont été tuées instantanément et la quantité
équivalente de blessés à Nagasaki. Le 9 août 1945, le bombardier
américain B-29 Bockscar a largué une seconde bombe atomique sur la
ville nippone de Nagasaki à 11h02 heure locale. Il est faux de
prétendre que Nagasaki a été visée à parce que la ville avait fabriqué
les torpilles utilisées à Pearl Harbour, Nagasaki a été visée seulement
après que les pilotes eurent déviés de la cible prévue, Kokura,
obscurcie par les nuages.
Commémorer Hiroshima, un devoir citoyen.
Ce printemps, à New-York, les discussions sur le traité de
non-prolifération des armes atomiques furent un échec. Malgré ses
prétentions, le Canada a sa très grande part de responsabilité quant à
la prolifération des armes atomiques. En tant que citoyen du monde,
canadien, québécois et particulièrement montréalais, nous avons le
devoir de nous rappeler d'Hiroshima, et de participer activement à la
commémoration de la première utilisation d'une arme atomique sur des
populations civiles. Hiroshima a été un acte d'intimidation politique
auquel les dirigeants, l'industrie et les scientifiques canadiens,
principalement à partir de Montréal et de Québec, ont pris une part
active.
Au cours de novembre et décembre 2004, la population d'origine ukrainienne de la capitale d'Ukraine a commémoré à sa façon le quinzième anniversaire de la Chute du mur de Berlin. Dans le plus pur respect de la tradition des cinquante dernières années dans les pays d'Europe de l'Est, elle a défié sans violence le pouvoir pour contester la validité de l'élection à la présidence. Dès la diffusion des résultats du premier tour de scrutin, alors qu'il devenait évident que l'élection était frauduleuse, plus de 50 000 partisans de Victor Iouchtchenko, candidat perdant, ont envahi les rues de Kiev.
Chronologie d'une véritable révolution non-violente en Europe de l'Est, qui retrace les origines des mouvements actuels pour une démocratisation à la fin de la seconde guerre mondiale.
La non-violence: une force politique redoutable
Les observateurs de la scène internationale semblent dépourvus d'outils pour analyser l'importance des mécanismes qui ont engendré la transformation de l'Europe de l'Est. L'effet Gorbatchev et l'influence de Jean-Paul II en Pologne sont les éléments clé retenus pour expliquer et comprendre ce qui s'y est passé. Pourtant, c'est une véritable révolution populaire non-violente qui s'y est déroulée et qui se poursuit sous nos yeux sans que les grands médias n'y portent l'attention et l'éclairage requis. Aujourd'hui encore, leur ignorance et leur manque de perspective politique se font cruellement sentir.
Le 26 janvier dernier s'est tenue la
conférence-bénéfice Haïti et développement organisée par le Comité
québécois pour les droits des travailleurs haïtiens en République
Dominicaine.
Guatemala, l'espoir déçu.
Par Florence Ruel St-Pierre
La situation politique du Guatemala semblait prendre un nouveau
tournant démocratique avec l'arrivée au pouvoir d'Oscar Berger (GANA)
qui a remporté, avec 54 % des suffrages, le scrutin présidentiel du 28
décembre 2004. Le soulagement général de voir écarté de la présidence
Efraín Ríos Montt (FRG) fut néanmoins assombri par une série
d'évènements qui témoignent de la situation encore fragile du Guatemala.
Par Normand Beaudet
Du Centre de ressources sur la non-violence.
Une version de ce texte a été publiée en 1996 dans le bulletin du Centre de ressources sur la non-violence. Ce texte a été retravaillé et mis à jour pour servir de référence lors d'une session de perfectionnement lots des journées québécoises de la solidarité 2004 organisées par l'AQOCI.
La guerre nous révolte tous. Nous sentons tous ce sentiment d'impuissance qui nous envahit lorsqu'on assiste en spectateur à l'insoutenable réalité de la guerre. Quoi faire?
par John Sloboda
L'auteur enseigne à l'Université Keele de Grande-Bretagne depuis une
trentaine d'années. Militant pour la paix, il a mis sur pied avec un
collègue, début 2003, le site internet Iraq Body Count
(www.iraqbodycount.net). Ce site est devenu la référence internationale
incontournable au sujet des victimes civiles de la présente
guerre/occupation de l'Irak. Il est aussi directeur exécutif du Oxford
Research Group (ORG) (www.oxfordresearchgroup.org.uk), un interlocuteur
privilégié en matière de paix et de sécurité. Dominique Boisvert nous
présente ici une synthèse de la conférence donnée par John Sloboda le 2
août 2004 à Montréal.
par Normand Beaudet
Au moment d'écrire cette note, la saga des photos de prisonniers
irakiens bat son plein. Les média d'informations font présentement
leurs choux gras de ces images à sensation. La machine à relations
publiques du Pentagone est à plein régime et nous martèle que les
événements sont isolés et que les quelques responsables de ces
atrocités seront punis. Campagne électorale oblige.
En réponse au Lieutenant-général Roméo Dallaire sur son livre « J’ai serré la main du diable », un refus de financer par ses impôts la guerre et la violence, et le partage de réflexion sur les Forces armées canadiennes.
Par Normand Beaudet
L'avancée des forces paramilitaires et la pression des Etats-Unis, de
la France et du Canada ont porté l'estocade finale au gouvernement de
Jean-Bertrand Aristide qui a dû s'enfuir à destination de la République
centrafricaine le 29 février. Dès le début de mars, le Comité pour les
droits humains des travailleurs haïtiens en République Dominicaine
demande un avis au Centre de ressources sur la non-violence, sur un
position constructive à prendre dans le contexte. Le Centre n'avait que
quelques heures pour réagir. Voici la position remise qui a été très
bien reçue.
Par Gerry Pascal
Cet article décrit quelques aspects non-violents peu connus de
l'Intifada, un mouvement de résistance à l'occupation israélienne de la
Palestine. Les aspects violents du conflit, de la part des deux
parties, sont amplement documentés et font la manchette dans nos
journaux presque chaque jour.
L'Intifada comporte deux phases, l'une débutant à la fin de
1987 que nous appelons la Première Intifada, et l'autre débutant en
2000 que nous appelons la Seconde Intifada. «Intifada» est un mot arabe
signifiant «secouer» dans le sens de « se débarrasser de ».
Écrit par Simon Moyle En fin septembre 2012, une quarantaine de personnes, même si peu nombreuses, ont réussi à bloquer… Lire la suite »Comment bloquer une base militaire?
La Fondation The 2003 Right Livelihood
Awards, communément appelés les Prix Nobel alternatifs, vise à
récompenser et faire connaître des personnes et des groupes dont la vie
et l'activité s'inspirent des principes de responsabilité et d'équité.
Le 8 décembre 2003, les prix ont été remis aux individus et groupes
suivants pour leur travail dans le désarmement, la justice, le
partenariat et le développement environnemental durable :
Article tiré du site web http://www.irenees.net/ « Votre ennemi et vous dépendez étroitement l’un de l’autre. Dans une telle situation, détruire son… Lire la suite »Violence et non-violence dans la lutte tibétaine
Article tiré du site web http://www.irenees.net/ « Que se serait-il passer si Martin Luther King avait choisi d’être médiateur plutôt que militant… Lire la suite »Médiation et non-violence, complémentaires pour la gestion des conflits
Article tiré du site web http://www.irenees.net En 1955, les Noirs de Montgomery étaient de plus en plus excédés par les bus… Lire la suite »Médiation et non-violence, complémentaires pour la gestion des conflits