La détresse meurtrière : L’ordre social en question
À la suite des attentats terroristes récents, l’hypothèse de la crise suicidaire à caractère public et teintée d’une « intention terrorisante » semble particulièrement importante à creuser.
À la suite des attentats terroristes récents, l’hypothèse de la crise suicidaire à caractère public et teintée d’une « intention terrorisante » semble particulièrement importante à creuser.
Après Fukuima, les Artistes pour la Paix et divers organismes québécois ont dénoncé les risques nucléaires, de Gentilly II aux mines d’uranium, alertant sur la sécurité, la santé et l’environnement. Les actions combinent conférences, pétitions et manifestations, soulignant la nécessité de démanteler les centrales et de protéger l’eau et l’écosystème.
Le carnage de vendredi illustre que la perfection n’est pas de ce monde. La question qui se posera dorénavant me semble la suivante: quelles nouvelles mesures d’innovation nous réservent les Norvégiens?
C’est le postulat implicite que les non-citoyens sont plus dangereux que les citoyens qui sous-tend la majeure partie du débat sur les certificats de sécurité, y compris la nouvelle proposition de loi. C’est également ce qui justifie qu’on les soumette à des procédures que l’on condamnerait immédiatement en raison de leur caractère injuste si elles étaient appliquées à des citoyens.
Le Canada et le Québec sont maintenant plongés dans un profond débat de société. Participer ou ne pas participer à une guerre en Afghanistan.
Derrière les discours sécuritaires, la menace terroriste n’est-elle qu’un prétexte pour enrichir dirigeants et militaires?